Maxime Orianof, au contraire, était plein de verdeur et de sève, actif, résolu, enthousiaste même, non pour la poésie pure, mais pour la poésie de la science et du labeur. Intolérant d'ailleurs, comme on l'est à vingt-quatre ans, il s'indignait que les hommes ne fussent pas devenus parfaits tout de suite, puisqu'on leur en avait enseigné le moyen. Par une inconséquence toute naturelle, il était lo...