" Assez ! " me disais-je à moi-même, en gravissant péniblement le flanc d'une montagne escarpée qui s'élevait depuis les rives d'un fleuve paisible. " Assez ! " me répétai-je, en humant l'haleine résineuse d'un bosquet de sapins, particulièrement odorante dans la fraîcheur du crépuscule… " Assez ! " me dis-je de nouveau en m'asseyant sur un tertre moussu qui surplombait le fleuve, les yeux fixés s...