C'est désormais un lieu commun, un truisme que de dire de la littérature qu'elle est le reflet du vécu quotidien. Or Évelyne Mpoudi Ngolle, dans Sous la cendre et le feu, fait du phénomène du contraste un paradigme de l'écriture, un constituant esthétique et, au-delà, un principe existentiel, une unité de mesure du tempo de la vie de tous les jours. Voilà qui a déterminé Désiré Marie Kameni à y po...