De quelle façon ce livre
pourrait-il vous être utile ?

Ce livre est à lire et à relire…

Ne vous attendez pas à obtenir

un CHANGEMENT RADICAL en 8 jours.

Il vous faudra d’abord réapprendre à modifier vos habitudes.

À regarder autour de vous, vous exercer à POSITIVER,

car ce sont vos pensées, votre OPTIMISME, qui à long terme,

feront que votre vie sera TRANSFORMÉE !

Ne vous découragez pas…

En apprenant à voir la vie sous un autre angle,

en acceptant les épreuves que le destin

vous impose, et en vous appliquant à les considérer comme

des défis à relever et non comme des obstacles à surmonter…

je peux vous assurer que vous vivrez de plus en plus souvent,

de jour en jours… de purs moments de BONHEUR !

Faites de ce manuel, votre livre de chevet.

Même si vous n’en lisez qu’une page par jour,

vous nourrirez ainsi votre esprit de pensées positives,

et vous serez la personne que l’on a envie de fréquenter,

car vous saurez toujours trouver les mots qui remontent le moral.

Alors au travail !

Et que L’UNIVERS vous accorde tout LE BONHEUR

que vous souhaitez !

SOYEZ ACTEUR de votre vie au lieu d’en être le SPECTATEUR !

INTRODUCTION

À l’aube de ma retraite, j’ai mis des collections en route, pour qu’après plus de 28 ans de pratique, grâce à mes constatations, mon vécu, mais aussi l’usage de mes recherches, vous trouviez des solutions à vos problèmes, et réalisiez vos vœux…

- Travaux qui, pour grand nombre de mes clients, au cours de ma carrière, ont porté leurs fruits. Et pour que mon savoir et mes acquis ne tombent pas dans l’oubli… j’ai décidé, qu’au travers de mes livres, je continuerai de vous aider, pour que vous puissiez réaliser vos souhaits, surmonter vos soucis, être fort(e) face aux épreuves, et regarder la vie différemment…

Cet ouvrage ne fait pas partie d’une collection.

Il est l’aboutissement de mes expériences,

de mes études sur le développement personnel,

de mes observations…

Puissiez-vous, vous aussi, en dépit des assauts de la vie,

qui parfois peuvent être extrêmement difficiles,

connaître malgré tout, une accalmie, un moment de bien-être…

et surtout, de vrais instants de BONHEUR !

N’oubliez jamais que :

« Les difficultés ne sont pas faites pour abattre

mais pour être abattues ! »

&

« Un lâcheur ne gagne jamais…

Un vainqueur ne lâche jamais… »

Partie 1 :

CHAPITRE I

« Problèmes ou réussites,

tous sont le résultat de nos propres actions,

Le karma. La philosophie de l’action est que

personne ne fournit la paix ou le bonheur.

Le karma lui-même et les actions sont responsables

du bonheur, du succès ou de toute autre chose. »

Maharishi Mahesh Yogi-

« Le monde appartient aux optimistes,

les pessimistes ne sont que des spectateurs. »

François Guizot

« Commencez par changer en vous

ce que vous voulez changer autour de vous. »

Gandhi

POURQUOI toutes ces INÉGALITÉS ?

- Nous n’avons pas tous, dans la vie, un départ avec les mêmes bagages !

- Certains naissent dans une famille aisée, ou l’amour règne, ou toutes les portes leur sont ouvertes, et d’autres, dans des familles déchirées, dans la pauvreté, voire abandonnés à la naissance…

- Eh pourtant, combien d’enfants de la 1^ère catégorie deviennent des drogués, des assassins, des hors la loi !

- Alors que bon nombre de la 2^e, ayant eu l’habitude de se battre pour obtenir quelque chose, se transforment en personnages importants, voire influents !

SOUVENT on ENTEND…

- Pourquoi est-ce que tout sourit à ceux-ci ? pour nous, tout va de travers !

- Tout ce que j’entreprends tombe à l’eau, ma vie sentimentale est un gâchis !

- Mes collègues me rendent la vie impossible… Mais aussi

- Pourquoi certains meurent à la fleur de l’âge, voire enfant, alors qu’ils n’ont rien fait au « Bon Dieu » ?

- Pourquoi certains naissent avec une « cuillère d’argent dans la bouche », alors que d’autres devront galérer toutes leur vie ?

- Pourquoi certains viennent au monde, handicapés ?

- Pourquoi fabrique-t-on des bombes, si c’est pour détruire ?

- Pourquoi ? POURQUOI ?…

Et si C’ÉTAIT le KARMA ?

Si je vous disais que votre VIE actuelle,

c’est VOUS (votre ÂME) qui l’avez (l’a) choisie !

- Certains le savent, d’autres l’ignorent ! et pour ces derniers, il est logique de les entendre dire : « mais qu’ai-je fait à l’UNIVERS pour mériter toutes ces galères ? »

- Et bien entendu, ne s’imaginant pas avoir vécu d’autres existences avant celle-ci, 10, 50, 100 et plus, étant ignorants de ce passé obscur, ils ont beaucoup plus de difficultés à surmonter les aléas de la vie, que ceux qui en ont la connaissance. Tout ceci vous dépasse ?

Je vous explique :

- La religion nous parle de résurrection… Mais pourrait-on imaginer renaître de nos cendres, si nous nous faisons incinérer ? Ou sortir du tombeau après avoir subit la décomposition ?…

- Résurrection = RENAÎTRE… Certes ! Mais il ne s’agit pas de notre corps physique ! il est question de notre ÂME qui elle, est éternelle ! Le mot est erroné !

RÉINCARNATION = s’incarner dans un nouveau corps !

- Notre vie n’a pas commencé à notre naissance, et notre passage sur terre n’est en rien dû au hasard ! Il y a TOUJOURS une raison à tout ce que nous vivons, ce que nous faisons, même si nous n’en comprenons pas les tenants et les aboutissants.

- Avant chaque nouvelle incarnation, avant de réincorporer un corps, l’ÂME fait de nombreux choix qui déterminent la vie qu’elle viendra effectuer sur Terre, les épreuves qu’elle devra surmonter. Elle choisit ses parents, (eh OUI ! ne dites plus : « on ne choisit pas sa famille…) son pays, le temps qu’elle passera dans ce monde, les événements principaux de son existence, de sa fonction ici-bas. Ce qui lui permettra d’évoluer.

- Si le bébé meurt in vitro, à la naissance, ou quelques mois plus tard (faiblesse organique), l’âme étant encore dans « ses souvenirs » (jusqu’à 3/5 ans environ de la vie de l’enfant), se cherchera immédiatement un autre corps, une autre famille similaire à celle choisie précédemment, afin de continuer sa mission. Il se peut, qu’après une fausse couche par exemple, suivie d’une nouvelle grossesse dans le semestre qui suit, que cette même ÂME intègre le nouveau fœtus.

- Notre âme s’est fixé un programme précis ! Elle sait ce qu’elle veut accomplir sur cette planète. Elle a un développement à achever. C’est pourquoi, cessez de dire : « qu’ai-je fait au ciel… ». VOUS (votre ÂME), avez (a) choisi de naître dans ces conditions mais « vous avez oublié »…

- Donc, les revers que nous traversons, que nous subissons, sont nos dettes karmiques, ce que nous n’avons pas réglé dans nos précédentes vies… Tôt ou tard, nous devons « payer ! »

- Et aussi difficiles soient les épreuves que nous devons surmonter, il nous faut avancer.

Un proverbe* dit :

« DIEU n’envoie que les expériences

que l’on est capable de supporter ! »

*Ce qui sous-entend :

- Notre ÂME « sait » quelles seront ses limites, elle sait ce que notre corps, notre esprit pourra endurer ! Et plus cette vie présente sera difficile, plus vite nos dettes seront épongées, et plus faciles seront les prochaines réincarnations.

- Alors, prendre conscience de ce fait, est déjà un premier pas sur l’acceptation des coups du DESTIN que nous subissons, et permet aussi et surtout, de faire face aux grandes afflictions.

Yoann, un de mes jumeaux,

avait souvent pour habitude de dire quand tout allait de travers :

« ce qui ne tue pas, rend plus fort ! »

Le BONHEUR, c’est quoi au juste ?

Le vrai BONHEUR vient de notre façon de voir, de subir les événements. Il est issu de l’âme, de l’intérieur. C’est une sensation extraordinaire ! C’est la plénitude. C’est : ne plus s’angoisser. C’est : avoir confiance en l’invisible, en sa bienveillante protection. C’est : s’émerveiller devant une rose qui éclos. C’est : rire devant un chaton qui se regarde dans un miroir et qui y voit un adversaire. Ce sont : les éclats de rire d’un bébé…

SAVOIR que…

Dans la vie, nous ne sommes pas tous logés

à la même enseigne !

a) Il y a 3 catégories de personnes :

… les HEUREUX, ceux qui regardent les choses du bon côté, qui prennent la vie comme elle vient ! Ils ont autant de travers et d’épreuves à supporter que les autres, mais leur façon de faire face aux coups du sort, en fait des êtres à part !

… Ceux qui se disent et se croient MALHEUREUX. Certaines personnes, et tant mieux pour elles, n’ont jamais eu de grands drames dans leur existence, d’épreuves insoutenables à traverser… Elles ont même ce qu’il faut : argent, santé, amour…

- Mais malgré tout, leur vie leur semble terne, sans relief, sans intérêt ! Elles se plaignent en permanence…

- Elles sont toujours aux aguets, craignant constamment le pire… Elles se considèrent continuellement comme des victimes. Qu’elles se méfient, car à force de broyer du noir, elles finiront, à un moment donné, par vraiment attirer la poisse !

Il y a ceux qui sont réellement MALHEUREUX ! la guigne leur colle à la peau. Tout ce qu’ils entreprennent tombe à l’eau. Vont d’échec en échecs, pour les moindres…

- Pour les pires, malgré leur bienveillance, leurs soucis de ne jamais faire de tort à autrui, ont des passes cruelles : (veuvage, perte d’un enfant, divorce, maladie, accident…)

… & COMPRENDRE

Alors, pour répondre aux « POURQUOI ? »

1/ Il se peut que certaines épreuves soient dues à de mauvais choix qui auraient été faits, à des avertissements ignorés, à une connaissance des conséquences, dont il n’aurait pas été tenu compte !

À ceux-là, je dirai :

Remettez-vous en question, faites votre examen de conscience. Et quand vous aurez trouvé la réponse, à vous de faire en sorte de ne pas reproduire les mêmes erreurs !

2/ Quant aux épreuves que nous rencontrons « sans les avoir méritées », ce peut être lié à un KARMA lourd, une vie antérieure mal gérée, et nous en payons les séquelles dans celle-ci. Mais quelle qu’en soit la raison, vous ne devez pas penser :

« C’est ma PUNITION, Il ne me reste qu’à assumer

et attendre la prochaine venue sur terre ! »

- NON ! Vous pouvez dès à présent, alléger votre KARMA, voire l’effacer… en donnant le maximum de vous-même, en faisant le bien autour de vous !

- Et quand une mauvaise passe se présente, le meilleur moyen de la gérer, consiste à y faire face, en ayant à l’esprit qu’elle est une occasion d’extraire ce qu’il y a de grand en nous.

- Tels que : s’armer de persévérance, de courage, de volonté, de confiance, de patience, de ténacité, etc.

- Il nous faut apprendre à tirer des leçons utiles de ce que la vie nous envoie. N’oublions pas qu’elle est la plus grande école qui soit pour notre évolution spirituelle ! Chacun d’entre nous possède la force intérieure voulue pour surmonter les dangers auxquels nous sommes confrontés, à un moment ou à un autre de notre existence.

- Alors, c’est en retirant, de chaque épreuve son bénéfice, que nous attirons à nous les ONDES BIENFAITRICES.

« J’ouvre une parenthèse…

- Avant de continuer, j’aimerais, non dans le but que l’on me plaigne, car je refuse la pitié, vous démontrer que l’on peut vraiment, si on le désire, si l’on fait ce qu’il faut pour…, atteindre une forme de BONHEUR, avancer dans la vie, retrouver le sourire et croire encore que malgré tout, des temps meilleurs nous attendent… J’espère, qu’à travers mon témoignage, mes expériences, vous serez assuré(e) de pouvoir vous aussi, rebondir, reprendre une destinée plus sereine avec des jours heureux !

Voici donc une partie abrégée de mon vécu…

- Si la vie m’a comblée d’un côté (un mariage réussi, 4 magnifiques enfants, l’amour de nos parents, un métier passionnant, et j’en passe…), avec mon mari Alain, nous avons dû traverser tout au long des 44 années écoulées, bien des épreuves et des drames, tels que : en 1981, un de nos fils âgé de 3 ans aura échappé (une première fois) à la mort de justesse, se faisant renverser sous mes yeux par une voiture. Je le vois encore rebondir sur la route comme un ballon ! Par chance nous étions en hiver, il avait un manteau fourré avec un bonnet et une capuche, ce qui ne lui a pas évité une fracture du crâne, mais sans cette protection, il n’aurait pas survécu !

- Ce même enfant, 8 ans plus tard, se faisait opérer en urgence d’une tumeur derrière l’œil qui grossissait tellement vite, que ce dernier commençait à sortir de son orbite ! 3 semaines d’accompagnement au CHU, mais surtout 3 semaines d’angoisse à attendre le résultat de la biopsie !

- 1 dépôt de bilan au début 1982, nous laissant, avec 3 bambins (6 et 4 ans), dans une très grande précarité. Un syndic extrêmement malveillant, nous avait dépouillés de TOUT ! Il ne nous restait plus que 3 matelas, une table de cuisine et 4 chaises ! allant même jusqu’à bloqué le compte en banque, et le peu d’argent qui y était versé tous les mois, il nous le prenait.

- Nous n’avions plus aucune ressource ! Pas d’indemnité chômage… Même les allocations familiales versées, repartaient dans la poche du syndic ! (Cela ne lui aura pas porté chance, car quelques années plus tard, nous apprenions qu’il était en prison pour 10 ans, cause : détournement d’argent !)

- Mais nous étions jeunes, battants et optimistes. Mon mari trouvait des petits boulots, et moi je tricotais pour quelques connaissances, ce qui nous permettait de manger à notre faim.

- Puis en août 1983, alors que ce n’était pas du tout dans nos projets, je me suis retrouvée enceinte… quel BONHEUR ! mais vite rattraper par l’inquiétude. Comme la « poisse » nous poursuivait, cette dernière grossesse étant à hauts risques, j’ai dû rester allongée pendant 5 mois. Étant donné qu’Alain n’avait pas de travail fixe, il s’arrangeait pour être présent pour le retour de l’école et le mercredi. Pour le reste, une aide familiale…

- Puis en 1986, j’ai dû faire face au décès dramatique d’un frère de 37 ans dont j’étais très proche, mort dans des conditions épouvantables.

- La vie reprit son court. Une période plus faste est apparue. En 1989, mon mari, étant un fonceur, avait lancé une entreprise commerciale avec un associé. (Alain, était sur le terrain, et le partenaire gérait les affaires (grosse erreur !)

- Tout allait bien, l’argent rentrait, le salaire était correct. Tout semblait ENFIN nous sourire. Mais, à partir de 1991, le doute s’installa. Les recettes étaient régulières et pourtant, les créanciers se plaignaient de ne plus être payés !… Alain fit son enquête, et se rendit compte, que son associé était véreux. Subtilement, il détournait les fonds de la société…

- Pouvant prouver la malveillance, il n’eut pas de mal à rompre le contrat associatif, mais hélas, le mal était fait ! Impossible de combler le déficit…

- D’où, en 1992, 2^e dépôt de bilan, suivi encore d’une longue période de chômage, de nouveau sans indemnités !

- Heureusement que l’entreprise n’était pas en NOM PROPRE. Cette fois, on ne pouvait pas nous enlever nos meubles !

- Mais, je venais, cette même année de me mettre en profession libérale. Mon revenu ne suffisait pas pour 6 personnes.

- Cependant nous avons une fois de plus, trouvé des solutions. Tant bien que mal, nous avons avancé !

- En 1997, une nouvelle épreuve nous attendait. Il nous fallait quitter le pavillon que nous avions en location depuis 13 ans, car l’échéance de notre bail arrivant à son terme (notre propriétaire, l’ayant fait construire pour sa retraite), il nous fallait chercher ailleurs.

- Ce qui a été pour moi un vrai crève cœur ! J’ai bien failli en faire une dépression.

- Puis, à nouveau, une nouvelle période de bonheurs, bien qu’il y eût encore des phases difficiles, mais avec ce que nous avions vécu, c’était dérisoire.

- En 2009, autre choc fulgurant ! par chance, un petit problème de santé obligea Alain à consulter le médecin. Sans cette petite indisposition, son cancer du pancréas aurait été découvert trop tard !… (un miraculé ! seuls 5 à 20 % , malheureusement peuvent espérer s’en sortir !). Toutefois, 5 années d’angoisses, à craindre chaque nouveau bilan annuel. Et étant devenu hélas, un grand diabétique, avec 4 piqûres d’insuline (de 38 unités chacune) journalières et à vie, cela entraîna des séquelles cardiaques… il dut subir, en 2018, un triple pontage…

- De mon côté, en 2002, une alerte cardiaque (artères rénales bouchées à 80% chacune) me conduisirent dare-dare au CHU. en 2008, j’ai failli perdre la vie suite à une péritonite aiguë, diagnostiquée d’extrême justesse ! en 2014, je fus sur le point de rester paralysée des membres inférieurs. Résultat du mauvais diagnostique d’un chirurgien qui pensait plus à remplir son compte en banque qu’à me faire passer une IRM… et j’en laisse, partie santé.

- Sans compter, qu’en l’espace de 10 ans (entre 2007 et 2017), nous avons perdu 8 de nos « très » proches. (1/an en moyenne). À commencer par notre première petite-fille. (Voir son enfant abattu par le chagrin et ne rien pouvoir faire pour le soulager, est une véritable torture pour des parents !) Suivi le décès de nos ascendants respectifs, puis celui d’un second frère.

- Mais les épreuves les plus cruelles qu’il nous a été donnée de vivre, furent la perte, à 3 ans d’écart, de nos JUMEAUX, âgés de 34 et 37 ans. Et comme si cela ne suffisait pas, étant célibataires, il nous aura aussi fallu nous démener pour les démarches funéraires ainsi que trouver les financements pour les obsèques.

- Par la suite, en 2015 et +, galérer 2½ ans dans les tribunaux pour maintenir nos droits de visites grands-parentaux. Car là aussi, bien que les grands-parents aient des privilèges, pour les faire valoir, il faut saisir la justice (J.A.F)…

- On dit que l’orage ne frappe jamais 2 fois au même endroit ! Chez nous pourtant, tout va de pair ! Disparition de 2 frères – de 2 enfants – 2 dépôts de bilan… dire adieu chacun à nos parents… (Mais en cherchant le meilleur, j’ai eu aussi l’extrême joie d’avoir des JUMEAUX comme fils, ainsi que comme petits-enfants. Tout comme des pères et mères merveilleux…)

- Croyez-bien qu’après tant d’épreuves, après cet acharnement du « mauvais sort », nous avons souvent eu envie de dire stop, trop c’est trop ! S’il existait un DIEU et bla-bla-bla…

- Ces dernières années étant les plus impitoyables, puisqu’elles étaient celles du départ définitif de 2 de nos enfants. Ce qui a bien failli nous conduire droit à la dépression, voire plus loin ! Mais il nous restait 2 autres garçons, tout comme nos petits-enfants qui comptaient sur nous, et à qui nous avions fait la promesse de tout faire pour nous revoir régulièrement !

- 2½ ans… que de temps de perdu et de souffrance inutile supplémentaire. Mais Dieu, que la récompense fut belle ! Quel bonheur quand ils se sont jetés dans nos bras ! Nos petits cœurs n’avaient que 5 ans quand leur papa est décédé, et 7½ ans quand nous avons à nouveau pu être réunis. Quel beau cadeau d’entendre : « PAPY – MAMY, ça fait si longtemps ! 2 ans et 4 mois sans vous voir. Mais vous nous aviez promis et ça y est, on se retrouve ! »

- C’était tellement touchant et émouvant de constater que, si petits, ils avaient fait le compte des ans et mois écoulés ! Il est dans la vie, des récompenses telles, que, quels que soient les obstacles à surmonter, quelle que soit l’animosité à affronter, rien n’est IMPOSSIBLE à celui qui s’engage corps et âme dans l’action, à celui qui ne renonce jamais et que rien n’arrête, à celui qui malgré les aléas de la vie, garde LA FOI !

- Mais pendant et après ces épreuves, il m’a fallu continuer mon activité. (Mon mari lui, étant à la retraite, s’est passionné pour la peinture ; Il a trouvé sa mission de vie).

- Entendre et écouter les doléances de chacun de mes clients, leur remonter le moral, les guider dans leurs démarches, leur dire que tout fini par s’arranger, qu’ils iraient mieux un peu plus chaque jour…, n’était pas une tâche facile, puisqu’en même temps, je me demandais comment moi-même, j’allais pouvoir survivre, continuer la route, faire face, encore et encore… car les coups du sort ne sont pas arrêtés à ces deux derniers décès et d’une douleur insoutenable.

- Régulièrement, nous devons de nouveau affronter l’adversité, la maladie et j’en passe… mais bon, je ne vais pas vous énumérer tous les malheurs qui ponctuent ma vie, chacun sa croix à porter. Bien sûr, pour s’en sortir, il faut une énergie intense, reprendre le dessus. Il y aura toujours des périodes plus difficiles les unes que les autres, telles que celles des « anniversaires », les « Noëls », les fêtes de famille… Rien ne sera plus comme avant, mais il faut avancer, continuer notre mission de vie…

- Actuellement, au moment où j’écris ce livre, nous devons encore faire face à deux nouvelles expériences douloureuses (une, familiale et l’autre, santé) sur lesquelles je ne m’épancherai pas davantage. Mais j’ai décidé, que malgré ces nouveaux événements malheureux, il faut tenir ou faiblir… Donc, je préfère TENIR !

Je referme la parenthèse. »

A noter :